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continued....

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Version en Français.

Une description scientifique populaire de la matière à  la plus petite échelle possible est la théorie des supercordes. Elle a perdu de sa popularité pendant quelques années car il en existait cinq versions concurrentes (ce qui n’est guère encourageant pour quelque théorie que ce soit) mais, récemment on a annoncé que les cinq versions étaient toutes des composantes valides de la théorie M. Littéralement M pour Mère (je laisse au lecteur l’interprétation de quel type de Mère). Apparemment, les supercordes existent à l’intérieur et au-delà de notre espace-temps quadridimensionnel. Des chercheurs ont calculé qu’il pouvait posséder dix, onze ou même vingt-six dimensions. Elles sont si petites qu’elles défient l’imagination. Fondamentalement, le Soleil est à un électron ce qu’un électron est à une supercorde ! Une supercorde est une « corde » ouverte à son extrémité ou hélice, plutôt qu’une particule. Elle coexiste simultanément à ses deux extrémités et entre celles-ci. C’est du moins ce qui apparaît à nous autres mortels, captifs de la quatrième dimension.
!
La matière solide est en fait constituée de 99,99999 % de vide; un réseau fantomatique d’énergie constitué en coquilles infiniment petites – ou quanta – qui interagissent continuellement et produisent un éventail incroyable de phénomènes, parmi lesquels l’univers et tout ce qu’il contient. Des rochers aux fusées, des algues aux astronautes, toute matière est faite de la même énergie. A une extrémité de l’échelle se trouve l’humble supercorde, virtuellement non-existante et extradimensionnelle et, à l’autre bout de l’échelle se trouve l’univers tout entier et au-delà. La seule différence réelle entre eux est la taille. Tout est constitué de supercordes. Comme tout est presque entièrement composé de vide, comment se fait-il que nous ayons une sensation de solidité ? Les choses ne sont pas aussi solides qu’elles le paraissent. Les forces qui gouvernent cette illusion de solidité sont si bien enchâssées dans le tissu de la nature qu’il nous faut des machines sophistiquées pour « voir » cette réalité fantomatique.
Qu’est-ce qui existe vraiment ? Ce n’est pas une question-piège, je vous assure. Si nous sommes honnêtes, la réponse pourrait se trouver dans le sens (1) de notre existence individuelle (2) du monde extérieur. Mises à part ces deux observations apparentes, rien ne peut être tenu pour certain. En partant de rien et en terminant avec Dieu, je vais décrire une hiérarchie qui existe entre ces deux extrêmes. Fondamentalement, pour chaque niveau naturel de l’existence dans la nature, il existe une dimension correspondante dans l’espace. Chaque niveau a sa propre perception de l’univers, qui devient de plus en plus objective au fur et à mesure qu’on gravit l’échelle. J’ai réparti les niveaux de base en catégories : l’Espace, les Minéraux, les Végétaux, les Animaux, les Etres humains, les Anges et Dieu.
Je dois avouer que certains mots me font grincer des dents : les anges, les archanges et Dieu. Mais je ne peux pas éviter de me servir de ces étiquettes, aussi je vous demande de les accepter. Si cela peut vous aider, vous pouvez y penser en termes d’énergie, d’êtres suprêmes ou tout ce que vous voulez. Ce ne sont pas leurs noms qui importent, ce sont leurs positions et leurs attributs. Comme je l’ai déjà dit, ma définition personnelle de Dieu est basée sur les mathématiques, plutôt que sur un « super-juge » à la barbe blanche ! Pour moi, rien ne peut exister en-dehors de Dieu, car Dieu contient tout le reste. En d’autres termes, Dieu est l’univers entier. Nous sommes en Dieu comme Dieu est en l’homme.
L’homme est « piégé » dans une réalité quadridimensionnelle. Nous percevons trois dimensions et la quatrième dimension, nous l’appelons le temps. Automatiquement, nous présumons avec arrogance que c’est la seule manière dont l’univers peut être perçu, c’est-à-dire que des événements surgissent du futur (qui n’existe pas encore) et disparaissent dans le passé (qui n’existe plus) via la ligne de démarcation appelée le présent.
Cette perception peut conduire à de nombreux paradoxes. Par exemple, si je dis : « la fin de cette phrase se trouve dans le futur », vous voyez la dérive…Nous savons tous à quel point notre manière de communiquer par le biais du langage a ses limites. Il pourrait être plus facile de comprendre cette théorie si toute idée préconçue concernant le temps et l’espace étaient suspendues, du moins pour l’instant.
Examinons maintenant les choses de bas en haut !
Une fractale “Julia”
Temps
Dimensions I
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